Annoncé comme le plus WTFOMGBBQ best of the best DLC d’un CoD jamais sorti of the universe and beyond, parce qu’il contient mesdames messieurs pour votre plus grand émerveillement, en plus de quatre cartes multijoueurs (et Survie), deux missions opérations spéciales, est-ce que ce premier DLC pour MW3 vaut le coup pour autant ?
Le contenu multijoueurs
Bon si vous êtes là, c’est que MW3 ça vous connaît, et si vous êtes un habitué de Xboxygen, vous connaissez un des principaux griefs que l’on a à l’encontre de ce jeu : des cartes trop bordéliques et remplies de couloirs. En effet, comme il était déjà précisé dans le test de MW3, les cartes multijoueurs de ce nouvel opus de la franchise sont une ode aux labyrinthes, où le joueur, tel une souris qui cherche ses bouts de fromage, cherchera lui ses ennemis pour les occire plus rapidement que l’inverse. Si possible dans le dos dans le cas où la connexion de vos adversaires les avantage trop. Et bien, les 4 nouvelles cartes ne dérogent pas à la règle, et sont toujours aussi compactes et labyrinthesques, bien que proposant des voyages dans des décors totalement différents les uns des autres.
Vous visiterez donc une ville typique de la côte méditerranéenne de l’Italie, un lotissement urbain victime du crash de Air Force One (ne me demandez pas pourquoi), le sommet d’un immeuble en construction où la moindre chute sera mortelle, et pour finir un parc américain bien amoché par la guerre, au milieu de l’automne. La première carte est le symbole même de ce qu’est devenu MW, des couloirs, toujours des couloirs, et la possiblité de se faire trouer sa peau numérique de toutes les directions, un vrai plaisir (ou pas). La seconde est une des rares cartes du jeu à présenter un petit espace ouvert, laissant le champ libre aux snipers pour faire quelques tirs longues distances. La troisième est plus originale de par son agencement vertical, bien qu’elle souffre de la même maladie que les autres : trop de bouts de décors masquant la visibilité à plus de 10 mètres ou presque. Si encore ils étaient destructibles, mais quand on voit une planche de bois se prendre une rafale et ne pas broncher… ça fait mal au cœur. La dernière est assez vaste, offrant des espaces ouverts mais pas trop, mais permettant surtout d’avoir un champ de vision assez lointain. N’espérez cependant pas éviter de vous faire abattre dans le dos au bout de 30 secondes de jeu, soyons sérieux tout de même.
Notez que vous pourrez utiliser ces maps et leurs cachettes pour le mode survie, qui consiste à résister à des vagues d’ennemis toujours plus armés, dangereux, divers et nombreux.