Test - Top Spin 2K25 - Un retour gagnant ?

«13 ans ? Pas souvenir, non !» , - 13 réaction(s)

Nous avons enfin le droit au retour de cette licence historique dans nos salons ! Cette licence ayant brillé entre 2003 et 2011, nombreux étaient les fans qui attendaient (désespérément) le retour de Top Spin. Certes, beaucoup de jeux de tennis sont sortis en 13 ans, mais très peu ont réussi à convaincre et à égaler le niveau qui était proposé à l’époque du quatrième opus.

Alors, qu’en est-il réellement de ce nouvel épisode ? Est-ce que les développeurs américains de Hangar 13, avec Rémi Ercolani en game director, ont fait de Top Spin 2K25 la nouvelle référence des jeux de tennis ?

Commençons par les bases

Bienvenue dans TopSpin 2K25 !

Le titre nous suggère dès le départ de rejoindre l’académie TopSpin et nous laisse entre les mains d’une des légendes du tennis mondial : John McEnroe. Celui-ci étant connu par les passionnés pour son calme à toute épreuve, nous espérons que les séances d’entraînement seront tout autant animées que les matchs de notre coach ! Comme dans beaucoup de jeux de sports, il existe des didacticiels soit penchés sur le réalisme soit penchés sur le fun. Difficile parfois de conjuguer les deux tout en essayant d’apporter une touche d’immersion à ces premiers instants passés sur le terrain. Ici, l’apprentissage sera progressif et segmenté en trois parties, toutes aussi essentielles les unes que les autres.

Elles se composent de leçons de base qui visent à nous enseigner le positionnement, les frappes de fond de court, le timing et le service. Le positionnement sera l’un des thèmes les plus importants, car il nous permettra de disposer d’un maximum de marge pour effectuer une frappe puissante et/ou précise avec surtout le bon timing, ce dernier étant au cœur du gameplay. Les premières leçons s’enchaînent et nous voyons très tôt que le jeu veut rendre l’immersion la plus sérieuse possible. Néophytes comme confirmés se sentiront très vite concernés par les différents sujets abordés par McEnroe, tant sur le plan virtuel que réel. Les conseils sont similaires à ceux que nous pourrions entendre sur un vrai court de tennis (prendre la balle à hauteur de la hanche, calibrer ses effets en fonction de celui joué par l’adversaire etc). Et c’est un point très positif pour une simulation !

Une fois les bases maîtrisées, il sera temps de les perfectionner en sachant adapter l’intensité de nos frappes et surtout la gestion de notre effort. Ces deux savoir-faire seront matérialisés par une jauge de puissance et une barre d’endurance. La force que vous engagerez dans vos coups réduira évidemment leur précision et ils prendront, de ce fait, plus de temps à préparer. Un bon placement et un bon timing feront prendre une tout autre dimension à vos frappes. Concernant l’endurance, elle diminuera plus ou moins rapidement en fonction de l’effort fourni pendant l’échange et viendra affecter votre qualité de jeu. Enfin ça, c’est la théorie et nous y reviendrons !

Lorsque le fun atteint son paroxysme !

Avec les leçons avancées, nous apprenons à varier notre jeu en adaptant nos coups en fonction des situations. Que ce soit pour un tir décroisé, pour ralentir l’échange ou surprendre notre adversaire avec une balle courte derrière le filet, chaque bouton de la manette correspondra à un coup particulier : le bouton A pour les frappes à plat, le bouton B pour les coups liftés, le bouton X pour les coups slicés, le bouton Y pour les lobs et enfin la gâchette RT pour les amortis. Il aurait été intéressant d’ajouter une option de mappage des touches pour s’approprier au mieux les diverses commandes disponibles. Chaque effet devra être judicieusement choisi pour être décisif sur le terrain.

En conclusion, une dernière partie des tutoriaux nous expliquera les différents styles de jeu. Que notre point fort devienne l’attaque, la défense ou la polyvalence, une nouvelle coach énumèrera les atouts à renforcer pour peaufiner notre qualité de jeu. Les exercices, même si variés en apparence, manquent un peu de saveur et font preuve de trop de sérieux. À titre de comparaison, nous aurions aimé avoir des didacticiels qui, tout en améliorant notre gameplay, proposent des exercices plus orientés sur le côté ludique. Nous pouvons citer les précédents Top Spin, dans lesquels les séances avec les différents coachs variaient en fonction de l’attribut travaillé : du mur de brique à briser, de la cible à atteindre, des records de vitesse à battre au service, etc. Mais ce point reste subjectif, nous verrons si le mode carrière bonifiera un poil plus ces séances d’entraînement.

Encore une belle victoire !

Federer, me voilà !

Maintenant que nous connaissons le gameplay plus en profondeur, il est temps de nous attaquer au mode “My Career”, en commençant par la création du personnage. Rien de transcendant ici, il s’agit d’une personnalisation classique, avec certes quelques presets, mais qui reste efficace. La customisation des équipements est en revanche un peu plus poussée et permettra à chaque joueur (sur le long terme) d’obtenir le style de ses rêves, la quasi-totalité des éléments cosmétiques étant des produits officiels ! Notre personnage débute niveau 1, avec une valeur de base de 30/100 sur ses principaux attributs de tennisman/tenniswoman. Ils sont au nombre de huit et sont les suivants : coup droit, revers, service, volée, puissance, vitesse, endurance et réflexes.

On prend les mêmes et on recommence

À chaque montée de niveau, nous recevons six points à distribuer comme bon nous semble dans chaque capacité. Le niveau maximal est le niveau 30 et chaque attribut peut naturellement atteindre la valeur de 70. Mais rassurez-vous, nous allons étendre cette question de potentiel naturel (et nous ne parlons pas de dopage…). À la façon d’un RPG, certains accessoires de la raquette, comme le manche ou le cordage, viendront rajouter un bonus de +2 ou +6 ou mieux encore dans certaines caractéristiques. Ces accessoires auront eux aussi un degré de rareté/efficience qui sera de plus en plus développé au fur et à mesure de notre avancée dans le mode carrière. De la même façon, nous recruterons des coachs qui nous demanderont de réaliser certains défis en essayant différentes façons de jouer. Ces derniers évolueront du tier bronze au tier platine en proposant, sur le moyen terme, des “styles de jeu”. Rien de mieux pour diversifier le gameplay au fil de la progression.

En revanche, il faut noter que le fonctionnement de ce mode reste trop simpliste : chaque saison est un enchaînement de 12 étapes, une par mois de l’année. Chaque mois, nous pouvons réaliser un entraînement, un événement spécial et un tournoi. Ne disposant d’aucune scénarisation, la seule chose que nous devons surveiller est notre état de fatigue exprimé en pourcentages. Passé certains seuils, nous nous exposons à une blessure légère ou grave qui viendra impacter nos attributs, voire notre capacité à jouer. Il faudra parfois faire l’impasse sur certaines compétitions mineures afin de pouvoir être dans la meilleure forme possible pour les évènements majeurs (coucou le Grand Chelem !). Soulignons que le calendrier ATP officiel est respecté pour chacune des saisons.

Mouais, à creuser !

D’autres fonctionnalités encore plus anecdotiques, comme l’achat de propriétés pour optimiser notre état de fatigue ou le recrutement de personnel, ajoutent une pointe d’immersion dans une carrière qui devient assez répétitive après une vingtaine d’heures de jeu. Ces améliorations arrivent lorsque nous franchissons certains statuts, comme “étoile montante” ou “prodige”. Nous pouvons par exemple engager une équipe médicale afin de mieux surmonter nos blessures ou une équipe marketing pour maximiser nos revenus. Malgré tout, cet aspect n’est pas assez développé pour permettre au mode carrière de sortir du lot, bien au contraire. Et les séances d’entraînement demeurent toujours aussi fades ! Même en ayant atteint le niveau 20 après plusieurs saisons, le contenu peine à se renouveler et reste très maigre pour un Top Spin.

Alors oui, nous aurions aimé terminer le mode carrière, mais malheureusement les serveurs 2K ont connu de nombreux problèmes ce week-end et en début de semaine. Un mal pour un mal, sans cette coupure, nous n’aurions pas pu remarquer que ce mode nécessite une connexion permanente, ce qui est très dommageable.

Quel plaisir !

Sympa la raquette !

Il faut souligner que ce nouveau Top Spin possède un joli atout, les courts sur lesquels nous jouons, sur tous les continents, sur toutes les surfaces, de jour comme de nuit, viennent égayer notre tour du monde. Malgré la technique bien en deçà de ce que nous en sommes en droit d’attendre d’un jeu de 2024, la bonne gestion des décors et des lumières est au rendez-vous. La fidélité de reproduction des courts des compétitions majeures et mineures est excellente et l’ambiance sonore contribue fortement à l’immersion. Que ce soit par la puissance, le timing, l’effet des coups et même des rebonds, le son est très proche de celui que nous pourrions retrouver dans les tribunes.

Quel décor ! Merci les pays Scandinaves

Le public, quant à lui, est assez inégal, de par sa ferveur ou sa pertinence, ainsi que ses interactions avec les joueurs. Concernant l’arbitre, il est on ne peut plus classique en dépit de l’effort fait sur la diversité des voix et des langues. Les animations sont correctement variées et s’adaptent très bien en fonction des surfaces sur lesquelles nous disputons nos matchs. Qui plus est, certaines stars du tennis (Federer, je t’aime !) ont participé à des sessions de motion capture afin d’intégrer au titre leurs mouvements signatures. Malgré le ralenti avec différents plans nous permettant de revivre nos meilleurs échanges et de revêtir l’habit des juges de ligne, les traces des rebonds pendant l’échange demeurent presque invisibles. De plus, nous ne reviendrons pas sur la modélisation faciale des joueurs, qui avait beaucoup fait parler d’elle lors des multiples tests anticipés et qui ne met vraiment pas en valeur nos stars favorites.

Mais alors, qu’en est-il du roster en mode exhibition ? Un total de 25 joueurs dans lesquels figurent des légendes : ROGER FEDERER, Pete Sampras, Maria Sharapova ou encore Serena Williams. Mais aussi quelques stars montantes comme Iga Swiatek ou Carlos Alcaraz. En revanche, sont aux abonnés absents : Novak Djokovic (actuellement numéro 1 mondial), Rafael Nadal, de nombreuses joueuses du top 10 WTA et les joueurs/ses Français/es ! Heureusement, 2K promet l’ajout de nouvelles icônes du tennis via des mises à jour gratuites. Et pour rebondir sur ce point, l’éditeur a fait le choix d’intégrer une boutique et un season pass à Top Spin 2K25.

L’embarras du choix !

Rassurez-vous, ils concernent l’achat d’éléments purement cosmétiques et payables avec la monnaie gagnée dans le jeu : les VC. Bien entendu, il est possible de débourser nos deniers personnels afin d’optimiser notre garde robe plus rapidement.

Et en ligne, ça donne quoi ?

Le jeu n’offre que quatre modes différents, l’exhibition, l’entraînement et les affrontements en ligne. Ces derniers seront divisés en deux parties : le circuit 2K, où nous pouvons choisir les stars du roster, et le circuit international, où nous jouerons avec notre personnage du mode carrière. Premier défaut, aucun matchmaking entre amis n’est possible pour l’instant, donc nous sommes obligés d’affronter un adversaire aléatoire. De plus, pour le circuit international, il n’existe aucun matchmaking en fonction du niveau de notre joueur. Il ne faut donc pas espérer gagner les tournois en étant niveau 1. Une armée de niveau 30, tous plus déterminés les uns que les autres avec plus de 1 000 matchs à leur actif, nous attend de pied ferme. Espérons que 2K saura corriger ce problème rapidement.

Top Spin 2K25 offre un gameplay assez simple à prendre en main et découvrir toute sa profondeur est grisant, surtout lors de match contre un humain. Nous vous mettons en garde, nombreux sont les aficionados du tennis qui ont prié pour qu’un nouveau Top Spin voit le jour, donc autant vous dire que vous aurez affaire à forte partie.

Non c’est pas vrai, je suis pas frustré !

Cependant, et ce seul point de gameplay aura attiré notre attention, nous avons pu constater, lors d’une cinquantaine de matchs en ligne, que les coups slicés étaient omniprésents et poussaient très régulièrement le joueur à la faute, et ce en dépit de tout ce que le titre cherche à nous apprendre au travers de ses multiples tutoriels. Exemple concret : notre joueur niveau 15 contre un joueur niveau 5, la barre d’endurance de l’adversaire complètement vide et la nôtre intacte (du fait du niveau), l’adversaire en difficulté (de par les animations du personnage trébuchant) sur plusieurs échanges de plus de 20 ou 30 coups, qui ne renvoie qu’en slice. Et tout passe, malgré le timing, le placement, l’endurance, jusqu’à pousser notre joueur à la faute.

Slice ? J’arrive !

Nous avons eu l’impression de retrouver ce même schéma chez tous nos opposants dès qu’ils étaient en difficulté, et cela fonctionnait. Alors seraient-ce les prémices d’un mauvais équilibrage et d’une potentielle méta ? À voir avec le temps.

En guise de pré-conclusion, il est important de rappeler que Top Spin 2K25 a débarqué de nulle part et a su créer une forte hype autour de sa sortie. La communauté de joueurs qui ont parcouru les différentes licences de jeu de tennis depuis 2011 n’a eu de cesse d’être déçue par ces dernières. L’attente en valait-elle la peine ? Et bien oui, rien que pour la profondeur du gameplay. Néanmoins, le tableau reste terne par endroits, notamment pour la carrière solo (connexion internet obligatoire), bien loin de ce que l’éditeur a l’habitude de nous proposer avec NBA2K. Espérons que la communauté saura faire vivre le titre et que les développeurs et éditeurs resteront à l’écoute.

Testé sur Xbox Series X.

Bilan

On a aimé :
  • Le gameplay
  • Les nombreux courts disponibles
  • L’optimisation du personnage…
On n’a pas aimé :
  • L’absence de nombreux joueurs emblématiques
  • La connexion permanente !
  • ... jusqu’à la découverte d’une méta ?!
Prise de risque minimale

Nous ne pouvons que remercier 2K d’avoir fait revenir cette licence après tant d’années d’absence. Évidemment, le budget investi n’est pas le même que dans un NBA2K ou un WWE2K, mais l’intention est là et cette prise de température est un pari qui nous semble réussi. Alors oui, le jeu est loin d’être parfait, tant par la pauvreté de son contenu que par les inégalités de son gameplay que nous espérons temporaires, mais quoiqu’il en soit, il se place bien au-dessus de toutes les autres licences que nous avons pu voir ces 13 dernières années. Lors de certaines interviews, Rémi Ercolani parlait d’un désintéressement pour le tennis, l’émulsion créée autour de TopSpin 2K25 est pour nous la preuve du contraire. Il n’en demeure pas moins un très bon jeu de tennis qui ne pêche que par quelques aspects liés au manque de confiance en la réussite du titre.

Accueil > Tests > Tests Xbox One

TopSpin 2K25

Genre : Sport

Éditeur : 2K Games

Développeur : Hangar 13

Date de sortie : 26 avril 2024

Prévu sur :

Xbox Series X/S, Xbox One, PlayStation 5, PlayStation 4, PC Windows

13 reactions

avatar

Rantanplan

02 mai 2024 @ 10:37

« Nous ne pouvons que remercier 2K d’avoir fait revenir cette licence »

Vraiment ? Vu ce qu’ils en ont fait, il n’y a pas de quoi les remercier, faut pas déconner ! :’-))

avatar

oldfarmer

02 mai 2024 @ 11:07

Ce jeu vraiment une honte ne surtout pas donner 1 cents à ces voleurs, encore un raté et une licence sabotée par hangars 13 après mafia 3 et on rajoute une touche take two co obligatoire fin de service prévue etc...

avatar

Zabal

02 mai 2024 @ 12:25

« stars montantes comme Iga Swiatek » => C’est l’actuelle N°1 mondiale, avec plusieurs titres de GC à son actif déjà... :)

Par ailleurs il n’y a que 7 joueurs pros en activité dans le roadster, il faut le dire, c’est très très peu et en fait, honteux. Même sans aller jusqu’à avoir chaque membre du top 10 qui doivent couter cher , les mecs pouvaient aisément prendre des joueurs du top 50 voire 100 pour pas cher, ce qui aurait renforcé l’immersion.... le grand public n’y aurait pas prêté attention mais les connaisseurs auraient apprécié de jouer contre des vrais joueurs....

avatar

alaindc

02 mai 2024 @ 13:29

Les remercier est VRAIMENT DE TROP, avec le peu d’effort fait pour ce jeu, et sa durée de vie limitée (serveurs fermant dans 30 mois).

Carrière minimaliste, peu de vedettes actuelles, graphiques d’un autre âge, connexion permanente pour les modes solo, avec la fin des serveurs déjà programmé pour fermer fin 2026...pour ce jeu « loué » à fort prix.

Personnellement, je ne donnerai pas un cent à 2K.

Tuco

02 mai 2024 @ 14:20

Vous avez eu le généreux press kit avec polo Lacoste,raquette...and co ?

avatar

Lucien

Rédaction

02 mai 2024 @ 14:58

@Tuco : Haha ouais j’ai vu aussi le pack... sur twitter :-) Je te rassure, on n’a rien reçu !

avatar

EverFish

02 mai 2024 @ 15:30

J’ai acheté le jeu et oui comme écrit dans le test, le gameplay est bon, me renvoyant dans mes bons souvenirs de Top Spin 4, graphiquement aussi d’ailleurs.

Je dis merci parce que la série est de retour dont j’espère une suite nettement améliorée dans la veine d’un NBA 2K.

Je comprends que le contenu soit chiche que ce soit en terme d’immersion ou du nombre de joueurs mais bon sur ce point je n’aurai pas joué avec tous.

avatar

Saitamouss

02 mai 2024 @ 15:33

Je crois qu’aucun site journalistique ne l’a reçu ce pack. Sûrement alloué à certains tutubeurs qui étaient déjà sûr d’encenser le jeu.

@Lucien , vous devriez songez à embaucher un influenceur bénévole 😅 (juste pour être sûr de recevoir les goodies)

avatar

_Cos

Rédaction

02 mai 2024 @ 17:42

Bonjour à tous, je vois que ce test met le feu aux poudres !

@Zabal, effectivement la très jeune Swiatek est une « star montante » comme l’aurait pu être Nadal ou Federer à leurs époques respectives, le futur nous dira si elle devient une légende du tennis ! Encore une fois pour le roster, un nom de sportif ça a un prix, et difficile pour 2K de trop risquer d’argent tant la peur de l’échec est énorme.

@Alaindc Certes c’est un défaut qui fait mal à TS2K25, mais encore une fois, si ce n’est pas eux qui aurait prit le risque de relancer Top Spin sur les rails ? EA ? Personnellement je préfère que ce soit 2K. Et je préfère surtout que éditeurs et développeurs partent d’une base solide quitte à écouter une communauté engagée et que les améliorations viennent par la suite, plutôt que de tout risquer en misant sur un store avec de nombreuses microtransactions.

De manière générale ils ont su se créer des communautés très solides avec leurs différents jeux (2K avec NBA et WWE pour ne citer qu’eux). Oui je fais partie des optimistes, et je ne suis pas d’accord avec ceux qui disent que c’est un mauvais jeu.

avatar

Zabal

02 mai 2024 @ 18:58

« @Zabal, effectivement la très jeune Swiatek est une « star montante » comme l’aurait pu être Nadal ou Federer à leurs époques respectives, le futur nous dira si elle devient une légende du tennis ! »

NON c’est faux : ce n’est plus une star montante, mais une star tout court, à moins que tu ne suives pas vraiment le tennis, ce qui est possible et aisément pardonnable. On n’est pas N°1 mondiale depuis des semaines et des semaines (75 d’affilée l’année dernière, deux années d’affilée finis au premier rang et la 3ème en cours bien partie), avec des records d’invincibilité à la pelle, et plein de GC et M1000 gagnés sur différentes surfaces par hasard, elle a déjà confirmé tout son potentiel en fait. C’est même LA joueuse la plus connue sur le circuit féminin en ce moment, encore faut-il s’y intéresser mon ami ! Donc je maintiens que cette formulation est au mieux maladroite, au pire sexiste. Et par ailleurs il y a des paliers entre espoir, star montante, star, championne, légende, GOAT....

Et pas d’accord pour le roadster, encore une fois, prendre des joueurs du top 100 en dehors du top 30 ça ne coute RIEN du tout, c’est peanuts.

mais bon, plus j’écris, plus je réalise que vous défendez ce jeu coute que coute malgré les évidences, donc je vais m’arrêter là, pas de soucis, mais la crédibilité de votre site en prend un coup-là :)

12