Comme vous avez pu le remarquer, cette fin d’année est riche, très riche même avec de grosses sorties qui ne sont pas encore toutes arrivées comme Alan Wake 2 ou Call of Duty : Modern Warfare III , pour ne citer qu’eux. Cette pléthore de jeux à gros budget a parfois tendance à faire oublier certains titres plus modestes, mais non moins de bonne facture. C’est le cas d’El Paso, Elsewhere développé par Strange Scaffold, à qui l’on doit l’intriguant Space Warlord Organ Trading Simulator.
Vous ne savez pas à qui vous avez affaire
Comme nous le disions plus tôt, cette fin d’année chargée en AAA ne laisse que peu de place pour la scène indépendante. Ainsi, en septembre dernier, il y avait certes Starfield ou Mortal Kombat 1, mais il y eut également El Paso, Elsewhere.
Après être passé sous les radars le 26 septembre, le soft refait parler de lui par le biais d’un trailer vantant les critiques plus que positives qu’a pu avoir ce fils spirituel de Max Payne et de Blade.
Mais qu’est-ce donc que ce jeu ? L’idée ici est de reprendre le concept des gunfights à la troisième personne couplé à des séquences de ralenti, notamment en plein vol, parce que c’est classe, tout simplement.
Dans une ambiance néo-noire rythmée d’un hip-hop du plus bel effet, le joueur devra arpenter les 46 étages d’un motel du Texas (dans la ville d’El Paso du coup) qui a basculé dans une réalité alternative. Pour pouvoir sortir, il faudra éliminer loups-garous, démons, vampires et tout un tas de monstres.
Avec des graphismes rappelant la fin des années 90, le jeu vous plonge dans un genre qui s’est un peu perdu avec le temps où le simple fait de tout détruire suffit à être fun.
Si vous voulez vous laisser tenter par une expérience sombrement psychédélique, sans prise de tête et aussi bonne qu’un shoot d’adrénaline, foncez ! El Paso, Elsewhere vous attendra sur Xbox One, Xbox Series X|S et PC.
